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Critique: Tony Hawk’s Pro Skater 1

Voici notre critique du jeu Tony Hawk’s Pro Skater 1:

Genre: Jeu de sports
Développeur: Neversoft, Treyarch, Natsume & Ideaworks Game Studio.
Date de sortie: 31 août 1999

Disponible sur Playstation, N64, Dreamcast, Game Boy, N-Gage

Site Web Officiel

Avec les remakes de Tony Hawk’s Pro Skater 1 et 2 à l’horizon (le 4 septembre 2020 pour être précis), j’ai décidé de replonger dans ces 2 jeux iconiques. Saviez-vous que Tony Hawk’s Pro Skater 2 est le jeu le mieux noté pour la Playstation et ce même à ce jour? Il détient toujours la note de 98 sur le site de Metacritic et il est également classé 2e pour meilleur jeu de tous les temps (toutes consoles confondues) derrière Ocarina of Time sur le N64.

Tony Hawk Pro Skater 1 sur la PS1, là où tout a commencé.

En 1999 il n’y avait pas beaucoup de choix pour les jeux vidéo de skateboard. On avait 3 choix: 3Xtreme, Thrasher presents Skate and Destroy et Tony Hawk’s Pro Skater. Le jeu Tony Hawk’s Pro Skater était parfait pour moi, car il m’a initié au sport sans toutefois avoir à le pratiquer.

Des skaters professionnels connus dans le milieu!

Contrairement aux autres jeux de skate sortis en 1999, le jeu de Tony Hawk était le seul à avoir des personnalités connues. Il y a 10 personnages différents, incluant Bob Burnquist, Chad Muska, Bucky Lasek et Jamie Thomas (pour n’en nommer que quelques-uns). Chacun ont leurs attributs respectifs, vêtements et accessoires. Chaque personnage commence avec un choix de 2 planches et il y a 6 planches supplémentaires qu’on peut débloquer. Il y a donc 72 différentes planches à acquérir! Il y a également deux personnages secrets à débarrer en terminant certaines missions spécifiques.

Le personnage Andrew Reynolds en pleine action.

Plusieurs niveaux… qu’on doit débloquer

Au total, on retrouve 9 niveaux dans le jeu. On passe de la Californie à la Floride à la ville de New York en arrêtant par la ville de Chicago. Il y a 3 sortes de niveaux distincts : ceux à monde ouvert (Warehouse, School, Downtown, San Francisco et Rosswell), les compétitions (Skate Park et Burnside) et les descentes (Downhill Jam et Mall). Pour débloquer tous les niveaux, il faut réussir des objectifs dans le mode carrière au travers de chaque emplacement.

Ci-haut on peut voir tous les objectifs du niveau Warehouse.

Des objectifs quasi identiques pour chaque niveau

S’il y a plusieurs choses à débarrer, les objectifs eux sont malheureusement un peu redondants d’un niveau à l’autre. C’est un des rares points négatifs du premier jeu. Il y a seulement 5 objectifs dans les niveaux à monde ouvert et les descentes. Dans chaque niveau, on nous donne 2 minutes pour réussir le plus d’objectifs possible. Parmi les missions, on doit obtenir un certain score, collectionner les lettres “S-K-A-T-E », trouver la cassette cachée ou détruire 5 objets identiques cachés au travers du niveau.

Un jeu qui se joue aussi bien en solo qu’en multi-joueur!

Si le jeu est épatant en solo, c’est vraiment en mode multi-joueur qu’il brille! L’écran est divisé en 2 et on a 5 différents modes disponibles. Il y a le mode Horse, le trick attack, la tag, le graffiti et le free skate.

Et que dire de la trame sonore! Wow!! Même s’il n’y a que 10 chansons, elles sont très entrainantes et les genres y sont variés. Parmi les chansons les plus populaires, on retrouve Superman de Goldfinger, Police Truck de Dead Kennedys et Jenny Was a Race Car Driver de Primus.

En conclusion, le jeu de Tony Hawk’s Pro Skater est sorti au bon moment. En 1999, il n’y avait rien de comparable sur le marché et Neversoft a fait un très bon travail avec le jeu! Le jeu est toujours d’actualité aujourd’hui et Activision a même décidé d’en faire un remake qui sortira le 4 septembre!

Merci d’avoir pris le temps de lire notre critique du jeu Tony Hawk’s Pro Skater 1. N’hésitez pas à nous donner vos avis sur ce jeu dans la section commentaire ci-dessous!

Sillystou
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Sillystou

Grand fan des jeux rétros et critique pendant ses temps libres, il aime les jeux de sports, de course et d'aventures! Un autre petit détail : il est également un grand passionné de Lego.

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