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Critique: Mark of the Deep

Voici notre critique du jeu Mark of the Deep, testé sur PC.

Genre: Action, Aventure, Pirates
Développeur: Mad Mimic
Date de sortie: 24 janvier 2025 sur PC

Disponible sur PC et bientôt sur PS4, PS5, Xbox One et Xbox Series X/S.

Il y a quelques semaines, nous avons eu l’occasion d’essayer la version démo de Mark of the Deep, le tout dernier projet du studio brésilien Mad Mimic. C’est un jeu d’action en vue isométrique dans l’univers des pirates qui présente des caractéristiques Souls-like et qui s’inspire de jeux comme Bastion, Death’s Door ou encore Hades. Notre première impression a été positive, mais nous avions noté qu’il aurait gagné à se concentrer davantage sur son thème, car les environnements nous semblaient initialement mal adaptés à la piraterie. Heureusement, la version finale nous a prouvé le contraire, et nous sommes très enthousiastes à l’idée de vous en parler aujourd’hui. Initialement prévu pour octobre 2024, le jeu a été repoussé et est finalement sorti le 24 janvier 2025. Cependant, aucune date de sortie pour les consoles n’a encore été communiquée. Maintenant que nous avons joué à la version définitive, laissez-nous vous donner notre avis sur ce titre.

Yarrr?…Yarrr!

Mark of the Deep vous plonge directement dans l’action. En d’autres termes, votre équipage entier risque de se retrouver à la mer dès les 30 premières secondes du jeu. Une courte animation vous accueillera, montrant un bateau voguant en pleine tempête sur l’océan. Tout à coup, quelqu’un pénètre dans la cabine du capitaine, une lueur bleutée s’échappe de celle-ci, suivie d’un éclair qui s’abat sur le navire. Et pendant que celui-ci coule dans les profondeurs sombres de l’océan, une île apparaît, semblant surgir miraculeusement des eaux.

Une tempête…
… une étrange lueur bleue…
… et un naufrage.

C’est ainsi que Rookie se retrouve mystérieusement allongé dans un temple, son fidèle crochet de pêche à la main. Le jeu débute comme la démo, mais prend rapidement une autre tournure. En effet, la démo n’a rien à voir avec le jeu final. Dans cette nouvelle version, vous rencontrerez rapidement un membre de votre équipage du nom de Blackeye. Celui-ci est très heureux de vous voir sain et sauf et vous en apprend un peu sur l’île et sur la corruption qui l’afflige. Il vous demande de partir à la recherche des autres membres de l’équipage, puis il vous guide vers un refuge qui vous servira de camp de base.

Tout au long de l’aventure, vous ferez la connaissance des autres membres d’équipage, mais aussi de nombreux habitants de l’île. Les personnages sont mémorables et leur design est vraiment extraordinaire. De plus, toutes les voix sont doublées en anglais et les doubleurs ont su parfaitement capturer l’essence de leurs personnages. Dans cette aventure, votre but principal sera de secourir votre équipage, mais surtout de découvrir les mystères de l’île et ce qui a réellement causé le naufrage. L’histoire est vraiment intéressante et pleine de rebondissements. Mad Mimic a réussi à donner vie à l’île et à ses habitants.

Où suis-je?
Trois fois plus balaise que vous, mais trois fois moins courageux.

Crochet et pistolet

Mark of The Deep est un jeu qui ne surprendra pas personne avec sa jouabilité. Pour un studio indépendant, c’est un jeu qui est surprenamment très conservateur dans son approche, mais ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose. Dès les premières minutes de jeu, vous pourrez constater que Mark of The Deep se mesure aux plus grands. Les contrôles répondent bien, les coups sont satisfaisants et les roulades sont précises. Il opte pour un système de contrôle familier: une touche pour esquiver, une pour attaquer, une pour l’arme à feu et une autre pour le grappin. Les mécanismes de combat sont similaires à ceux que vous avez déjà vus, tout comme les mouvements dans l’environnement. Vous devrez activer des interrupteurs pour ouvrir des portes, trouver des raccourcis et franchir des ravins à l’aide de votre grappin. Bien que Mark of The Deep n’offre rien de nouveau dans le département du gameplay, il maîtrise les éléments clés pour offrir une expérience agréable.

Le pistolet est aussi utile qu’efficace.
Les déplacements au grappin sont fluides et rapides.
Les ennemis sont variés et parfois assez insolites.

Dans votre recherche de la vérité et de votre équipage, vous serez amené à visiter une multitude d’environnements. L’île est composée de divers biomes, tels que les bois abyssaux, la plage, les sommets enneigés, les ruines inondées, des temples et j’en passe. Lors de la démo, nous avions l’occasion de visiter uniquement le premier temple et d’explorer un peu les bois abyssaux. J’avais alors critiqué les décors, disant qu’ils ne convenaient pas à la piraterie. Cependant, après avoir joué à la version finale, je dois admettre que les décors parviennent à retranscrire à merveille l’image d’un pirate échoué sur une île maudite. La corruption et le mystère se ressentent dans chacun des environnements et les explorer est un réel plaisir.

Les environnements sont sombres, mystérieux…
… et parfaits pour une vraie aventure de pirate!

Parlant de découvertes, abordons le point fort principal de ce titre, qui est le level design. Si certains jeux sont très unidimensionnels et se contentent de vous faire passer d’une salle à une autre à l’aide de corridors, c’est tout le contraire avec Mark of the Deep. Les niveaux sont composés de plusieurs étages avec une multitude de boucles, de ponts et d’échelles. Ils sont extrêmement intrigants et ils exigent que vous utilisiez vos aptitudes d’observation pour vous y déplacer efficacement. De plus, la topographie de l’île et la disposition des zones sont vraiment parfaites. Au cœur de l’île se trouve le camp de base, entouré de différentes zones connectées. À l’instar des jeux qui l’ont inspiré, en progressant, vous découvrirez de nombreux raccourcis qui vous permettront de vous déplacer plus rapidement dans les environnements et des sanctuaires qui fonctionnent comme des points de sauvegarde et de voyage rapide. Cependant, ce qui est certainement le plus intéressant, c’est la quantité de passages secrets que l’on peut trouver dans les décors. Les environnements sont remplis de secrets. Quand je dis « rempli », je veux dire « REMPLI » et quand je dis « secret », je veux dire « SECRET ». Vous passerez une grande partie de votre temps à observer des coffres et d’autres trésors, en vous demandant comment y accéder. Dans la plupart des cas, il vous faudra dénicher une entrée secrète camouflée derrière un angle de caméra, puis vous faufiler derrière les décors. C’est toujours extrêmement satisfaisant et c’est aussi toujours très logique. En analysant l’environnement, vous pourrez déduire l’emplacement de l’entrée et vous parviendrez à dénicher le coffre tant convoité. Avec de la patience, de l’observation et de la réflexion, vous découvrirez tous les mystères de l’île par vous-même, ce qui est très satisfaisant. Finalement, je dirais que les secrets de Mark of the Deep font partie des meilleurs que j’ai vus depuis longtemps.

Toutefois, l’absence de carte peut être un peu déroutante. Il est certes excitant de naviguer dans les zones par soi-même et cela contribue probablement à l’aspect mystérieux de l’île. Cependant, le jeu ne fournit aucune direction, pas même une simple indication sur le chemin à suivre. Aucune pancarte, aucun indice, seule votre intuition vous guidera. Et, si, comme moi, votre intuition vous amène souvent à tourner en rond, alors vous tournerez en rond. Je dois admettre qu’au cours de mes multiples visites dans chacune des régions, afin de me situer ou de chercher mon prochain objectif, je n’ai pas fait que tourner en rond. Les cartes renferment tellement de secrets que vous en découvrirez encore lors de votre dixième passage. Toutefois, j’aurais aimé avoir au moins une carte grossière ou une boussole pour faciliter ma navigation, plutôt que de me fier uniquement à ma mémoire.

Les niveaux sont toujours complexes.
Et pour trouver les secrets, vous devrez souvent passer sous le décor.
Dans cette image, la source lumineuse à droite de l’escalier montre une entrée secrète qui se prolonge sous le trottoir jusqu’au coffre de l’image précédente.

À la sueur de votre front

Pour ce qui est de la difficulté, Mark of the Deep est un jeu corsé, peut-être même trop corsé. Les combats initiaux ne devraient pas poser de problème, mais cela évoluera rapidement. Pour passer d’un point de contrôle à un autre, il faudra tout donner, et la plupart du temps, vous devrez mourir plusieurs fois avant d’atteindre la prochaine zone. Vous pouvez vous déplacer librement dans les zones, mais elles contiennent généralement des salles dans lesquelles vous devrez vaincre tous les ennemis pour progresser. Ces combats seront ardus, et si vous les survivez, vous en sortirez généralement affaiblis. Par conséquent, les ennemis suivants risquent fort bien de vous achever. Cependant, une fois ces défis relevés, ils ne se reproduiront plus, facilitant ainsi votre progression dans la zone. Mais, même sans ces défis, les zones sont déjà difficiles à traverser. En les ajoutant, elles deviennent presque impossibles à réussir du premier coup.

En fait, les zones sont toutes si difficiles que vous finirez probablement par vous résoudre à courir du point A au point B en évitant tous les ennemis. Bien que vous ayez la capacité d’améliorer vos armes, vos potions et d’obtenir des objets plus performants, vos adversaires gagnent également en force et en cruauté. La possibilité de regénérer une charge de potion après certains combats serait un bon début, mais la vraie problématique réside dans la résistance des ennemis, en particulier celle des boss. En effet, les ennemis sont vraiment très coriaces. Les plus faibles d’entre eux peuvent encaisser jusqu’à quatre coups avant de mourir, tandis que les plus résistants en encaissent une dizaine. Par conséquent, lorsque vous vous trouvez dans une zone où une brute et deux sbires sont présents et que vous devez porter une quinzaine de coups sans trop de dommages, tout en étant pris pour cible par des tireurs sur un autre niveau, laissez-moi vous dire que c’est plus facile à dire qu’à faire. Les adversaires ne sont vraiment pas complexes. Ils n’ont, en effet, généralement qu’une ou deux techniques d’attaque, mais, lorsqu’ils sont nombreux, ils deviennent complètement imprévisibles. Plus bas, vous trouverez un exemple de combat frustrant. Vous avez une brute extrêmement rapide à combattre pendant que son partenaire vous lance des bombes de l’étage supérieur. Combattez la brute sans tuer le grenadier et vous subirez des dégâts. Foncez vers l’échelle pour aller tuer le grenadier sans tuer la brute et elle vous attrapera en vous faisant subir des dégâts. Quel que soit votre choix, ce combat vous coûtera des points de vie. De plus, dans cette situation, ils ne sont que deux ; imaginez lorsqu’ils sont six!

L’exemple de combat frustrant mentionné ci-dessus.
Une autre zone vraiment pas évidente à traverser.

Pour ce qui est des boss, c’est ici que le problème de résistance se fait le plus sentir. Vous devrez placer des dizaines et des dizaines de coups pour arriver à bout des boss. Ils sont ridiculement longs à abattre. De plus, ils se ressemblent tous et ne possèdent que quelques attaques. Ils ont tendance à répéter les mêmes attaques sans cesse, mais plus le combat avance, plus ils répètent leurs attaques et moins les périodes de répit sont longues. Honnêtement, j’aime bien les combats de boss difficiles, mais ceux-ci ne sont que frustrants. Il faut esquiver leurs attaques pendant une période tellement longue que, même si on connait toutes leurs techniques, les erreurs sont inévitables. Ce sont vraiment les seuls passages du jeu qui m’ont découragé. J’espère que, dans le futur, ils seront légèrement ajustés. De plus, c’est probablement le point faible majeur du jeu et cette difficulté vous oblige à subir ces combats encore et encore. Les combats de boss manquent cruellement de piquant, et seulement deux d’entre eux m’ont réellement amusé. La plupart des combats de boss se déroulent dans des salles similaires, avec des boss similaires qui répètent des attaques similaires.

Les boss sont ennuyeux et leurs attaques trop peu variées.
Par contre, le combat contre Maman Méduse était plutôt amusant.

Vous commencerez à ressentir une légère amélioration dans la difficulté de l’aventure vers la seconde moitié, mais vous aurez déjà enduré tant de souffrances que les dégâts seront déjà faits. De plus, non seulement les adversaires sont redoutables, mais les quêtes le sont également. En effet, comme nous l’avons déjà souligné, vous n’avez pas de cartes, ce qui vous oblige souvent à faire le tour du monde trois fois plutôt qu’une pour accomplir toutes les tâches. Par exemple, retrouver les huit membres de votre équipage qui se souviennent des paroles d’une chanson. Cela semble simple, mais ils sont dispersés sur l’île et vous n’aurez aucun moyen de savoir où se trouve le dernier que vous cherchez depuis des heures. Il peut se trouver n’importe où, et c’est le cas dans 80% des quêtes, qui sont de très longues quêtes qui se déroulent partout sur l’île. Cette situation ajoute certainement du mystère, mais aussi de la frustration.

Babioles et bibelots

Comme je l’avais mentionné dans mon test de la version démo, Rookie est armé de son fidèle crochet et d’armes de poing. Vous pouvez améliorer le crochet durant votre aventure et découvrir de nouvelles armes à feu, ce qui ajoutera un peu de variété aux combats. Tout cela est joliment disposé dans l’inventaire, qui ne peut pas être plus clair. Dans celui-ci se trouvent vos runes, vos gemmes et tous les autres objets importants pour votre quête. L’inventaire est simple et efficace, mais il est simple, car la variété des objets n’est pas énorme. En effet, l’ensemble des objets du jeu, à l’exception des babioles, peut tenir sur cette page. Cette simplicité nuit un peu au jeu, car, même si le crochet est une bonne arme, il ne dispose pas d’une liste de mouvements très variée. Le combat joue un grand rôle dans le jeu et vous ne pourrez changer aucune pièce de votre équipement à part les fameux bibelots. Alors, même si le crochet ne vous convient pas, vous devrez vivre avec.

L’inventaire est vraiment très joli et les menus sont intuitifs.
Vous pouvez acheter divers objets et améliorations auprès des marchands.

Les bibelots sont certainement l’élément le plus important du jeu. Ils offrent une grande flexibilité pour vous permettre de vous adapter à différentes situations. Certains d’entre eux vous donneront des bonus, comme obtenir plus d’argent en tuant des ennemis ou améliorer vos esquives. La plupart vous permettront toutefois de vraiment spécialiser votre style de jeu. Si vous préférez les armes à feu, vous trouverez des objets qui vous permettront de devenir une menace redoutable à distance. Si vous préférez trancher les ennemis avec votre crochet, vous trouverez plusieurs objets qui vous accorderont des bonus de mêlée très intéressants. Vous aurez l’occasion d’acquérir de nouveaux bibelots auprès des marchands et dans certains coffres. Plus vous avancerez dans le jeu, plus vous pourrez en équiper, ce qui vous permettra de créer des combos vraiment excitants. Personnellement, j’aime beaucoup le fourreau du boucanier, car il améliore l’attaque chargée, de même que l’étui du flingueur, qui augmente les dégâts des armes à feu lorsque votre vie est à son maximum. Si vous êtes un aventurier intrépide, vous pourrez équiper le bijou de Léviathan, qui augmentera vos dégâts de 20 %, mais vous exposera à des dégâts doubles.

Les bibelots changent beaucoup le gameplay.
Pour les voyageurs courageux.

Graphismes et bande-son

Au premier regard, on ne dirait pas que Mark of the Deep n’est que le deuxième jeu en trois dimensions du jeune studio Mad Mimic. En effet, en 2021, ils ont fait leur entrée dans le monde des grands avec le jeu Dandy Ace, qui, visuellement, ressemble énormément à Mark of the Deep. Affichant un style nettement plus vif et décontracté, Dandy Ace était un petit pas dans la bonne direction. Avec Mark of the Deep, on peut voir que ce pas leur a fait parcourir une grande distance. Les graphismes sont soignés, la palette de couleur est bien choisie et le design des personnages et des objets est incroyable. Les artistes 2D derrière ce jeu maîtrisent assurément leur art.

De plus, lors du test de la version démo, nous avions souligné que les décors ne se prêtaient pas à la piraterie. Vous reprendrez votre expédition dans le temple, mais vous vous retrouverez bientôt dans des environnements plus appropriés. L’île contient plusieurs biomes qui sont tous plus hostiles les uns que les autres. Les bois abyssaux, les temples, les hauts sommets enneigés et les ruines inondées ne sont que quelques exemples des endroits mystérieux qui vous attendent. Je suis convaincu que « mystérieux » est l’adjectif qui caractérise le mieux l’univers de Mark of the Deep. Les couleurs sont sombres et menaçantes. Les environnements sont vastes et oppressants. En résumé, une île maudite à la hauteur d’une épopée de pirates! Pour ce qui est de la bande sonore, elle n’est pas encore au sommet de la piraterie, mais elle contribue grandement à créer une atmosphère mystérieuse. On peut y entendre divers instruments, notamment beaucoup de piano. Elle est assurément plus mélancolique que ce que j’aurais voulu, mais elle s’intègre parfaitement au décor et à l’ambiance du jeu.

Le design des personnages est superbe!
La corruption affecte tous les habitants de l’île.

Mon avis

Dès les premières minutes de jeu, vous remarquerez quelque chose d’unique à propos de ce titre. Vous tomberez vite en amour avec Rookie, son équipage et l’île mystérieuse sur laquelle ils ont échoués. Mark of The Deep est un ajout formidable à la liste déjà longue d’excellents jeux du genre. Par contre, la thématique est probablement la seule chose d’originale à propos de ce titre. Bien que le résultat soit satisfaisant, il faut admettre que ce titre ne révolutionne pas vraiment le genre. Cependant, un bateau pirate, un équipage égaré et une île maudite sont tout ce dont vous avez besoin pour vivre une aventure palpitante. C’est un jeu qui est extrêmement punitif et parfois même injuste, mais son level design est vraiment incroyable. La qualité de sa présentation, de ses doublages, et de sa jouabilité va vous attirer, mais ce sera le désir de tout découvrir sur cette île mystérieuse qui vous fera rester. Sans cartes ni indications, vous y resterez peut-être plus longtemps que vous le souhaitiez, mais c’est tout de même une aventure qui vaut le détour. Malgré ses quelques défauts, Mark of The Deep est un titre que je recommande à tous les amateurs du genre. Une aventure haute en couleur à laquelle je donne la note de 7.5 sur 10.

Points positifs :

  • Une thématique intéressante et parfaitement représentée
  • Une superbe présentation visuelle
  • Des personnages colorés et mémorables
  • Une histoire et un univers intéressants
  • Un monde mystérieux et rempli de secrets
  • Un level design incroyable

Points négatifs :

  • Des combats de boss trop difficiles et ennuyeux
  • Une difficulté trop élevée, voire parfois injuste, surtout dans la première moitié du jeu
  • Sans cartes ni indications, vous tournerez souvent en rond
  • Un jeu qui innove très peu au niveau de la jouabilité et des idées

Un énorme merci à Light Up Games de nous avoir permis de tester le jeu pour en faire une critique.

Merci d’avoir pris le temps de lire notre première impression du jeu Mark of the Deep. N’hésitez pas à nous donner vos avis sur ce jeu dans la section commentaire, ci-dessous!

Manowarkill
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Manowarkill

Dans la trentaine, papa d'une petite princesse de 2 ans. Il est conseiller arboricole pour une entreprise d'entretien d'espaces verts. Il a découvert les jeux vidéo à l'âge de 4 ans avec la console Atari 2600 de ses parents. Depuis, il possède toutes les consoles Nintendo, Playstation, Xbox et il est un adepte de la réalité virtuelle.

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